Un peu de prose litteraire avant le week end rugbystique...
2 participants
Page 1 sur 1
Un peu de prose litteraire avant le week end rugbystique...
Je sais, je n'ai toujours pas pris ma plume pour essayer de raconter quelques unes de mes propres histoires rugbystiques et je m'en excuse...
Neanmoins, je ne peux pas m'empecher de partager avec vous l'histoire suivante, trouver sur mon site fetiche du FCG.
C'est frais, bien ecrit...en bref ca sent bon le rugby...
Avis a ceux qui veulent essayer
Savonnette et traumatisme…
Je voulais vous raconter le pire traumatisme que je dusse subir dans mon « incommensurable » carrière. Holà ! Tout doux ! Je vous rassure, il ne s’agit point ici de blessures physiques. Au diable les stupides fractures, les minables entorses, voire même les ridicules claquages. Non rien de tout ça, c’est un tourment bien plus grave qui me fait prendre la plume aujourd’hui. C’est une affliction d’ordre psychologique qui m’atteignît en plein cœur(voire un peu plus bas) en ce jour funeste de premier entraînement…Je devais être junior premier année, comme chaque saison à l’USSE, la reprise se faisait au 15 août. Les premières séances étaient collectives, les seniors et les juniors pratiquaient ensemble. Ces rassemblements initiaux permettaient aux plus anciens de faire connaissance avec les nouveaux, et bien sûr d’ « initiés » sans ménagement la ménagerie arrivant toute fraîche éclose de la fragile nursery cadette. Pour tout dire, nous n’en menions pas large, nos gueules étaient muettes, et nos bras au garde à vous. Celui qui nous impressionnait le plus, c’était le « gros René », seconde barre emblématique, homme de base, poutrelle des mêlées, 195 cm, 100… et quelques kilos( je reste un peu vague, par mesure de sécurité, je le croise encore assez souvent…) Pour la vélocité, les fées ne s’était pas penchées sur son berceau, En revanche, pour les organes génitaux les enchanteresses avaient été des plus généreuses… La salière leur avait échappé des mains, le compte y était largement. Pour preuve, nous vîmes un jour cet inestimable garçon, lors d’une troisième mi-temps
Mémorable dans un resto d’Aix les bains, nous interpréter un magnifique flamenco. Pas de robe à volants, pas d’éventail non plus ! Il n’avait pour toute parure et pour tout accessoire que de simples « castagnettes » Quand je dis simple, il faut que je vous précise, notre animal c’était saisi d’une paire de magnifiques verres à cognac, et enserrant chacune de ses précieuses testicules dans leur étrange réceptacle, il se promena à travers toute la salle faisant teinter dans un déhanchement lascif son instrument aussi baroque qu’insolite. Les femmes étaient médusées, hypnotisées.Arrivant à la hauteur d’une charmante personne, il lui chipa ses rondelles de tomates, et se les frotta langoureusement sur le pubis. Il fit un triomphe. Le lendemain, au boulot, notre lascar avait visite médicale, je vous ne raconte pas la tronche du toubib découvrant dans la toison de notre artiste une foison de pépins de tomates…
Vous voyez maintenant à qui nous avions à faire !
Et bien ce fameux jour de premier entraînement, après avoir couru comme des dératés, mes jeunes coreligionnaires et moi-même, nous nous retrouvâmes tout timides dans un coin des douches. Bien décidés à se laver gentiment, sans faire de bruit, sans déranger personne. Quand tout à coup le « Gros René » surgit, avec dans la main une belle et toute nouvelle savonnette, l’inscription « Mon savon » gravé bien lisible sur ce terrible objet.
Il se tourne vers nous, nous toise, et dans un rire guttural, il nous dit.
«Ho les merdeux, vous connaissez la combine pour épater vos gonzesses »
Et joignant le geste à la parole, il s’enfile la grosse savonnette dans le prépuce. Une vision incroyable, il avait maintenant au bout du pénis une énorme spatule, battant d’avant en arrière dans un balancier démoniaque. Nous étions bouches bées, mon regard allait de cette broche plate de marteau-piqueur, à mon fragile stylo bille. Je n’avais qu’une envie, c’était de le ranger dans ma trousse.
J’étais traumatisé ! Je savais ce soir là que je ne pourrais me montrer nu devant une fille avant dix bonnes années…
J’exagère un peu, ce fut, il me semble, dix mois ou peut-être dix jours. Enfin peu importe, le choc de cette image restera gravé dans ma caboche jusqu’à la fin de mes jours…
Il faut dire que j’ai une bonne thérapeute, depuis que je la connais, ma charmante épouse ne cesse de me rassurer sur mes mensurations.
Les séances défilent et j’en redemande à chaque fois, le besoin d’être rassuré est plus fort que moi…
Mesdames, réfléchissez bien avant de faire pratiquer à vos garçons ce terrible sport, les risques y sont terribles et pas toujours où l’on croit…
Neanmoins, je ne peux pas m'empecher de partager avec vous l'histoire suivante, trouver sur mon site fetiche du FCG.
C'est frais, bien ecrit...en bref ca sent bon le rugby...
Avis a ceux qui veulent essayer
Savonnette et traumatisme…
Je voulais vous raconter le pire traumatisme que je dusse subir dans mon « incommensurable » carrière. Holà ! Tout doux ! Je vous rassure, il ne s’agit point ici de blessures physiques. Au diable les stupides fractures, les minables entorses, voire même les ridicules claquages. Non rien de tout ça, c’est un tourment bien plus grave qui me fait prendre la plume aujourd’hui. C’est une affliction d’ordre psychologique qui m’atteignît en plein cœur(voire un peu plus bas) en ce jour funeste de premier entraînement…Je devais être junior premier année, comme chaque saison à l’USSE, la reprise se faisait au 15 août. Les premières séances étaient collectives, les seniors et les juniors pratiquaient ensemble. Ces rassemblements initiaux permettaient aux plus anciens de faire connaissance avec les nouveaux, et bien sûr d’ « initiés » sans ménagement la ménagerie arrivant toute fraîche éclose de la fragile nursery cadette. Pour tout dire, nous n’en menions pas large, nos gueules étaient muettes, et nos bras au garde à vous. Celui qui nous impressionnait le plus, c’était le « gros René », seconde barre emblématique, homme de base, poutrelle des mêlées, 195 cm, 100… et quelques kilos( je reste un peu vague, par mesure de sécurité, je le croise encore assez souvent…) Pour la vélocité, les fées ne s’était pas penchées sur son berceau, En revanche, pour les organes génitaux les enchanteresses avaient été des plus généreuses… La salière leur avait échappé des mains, le compte y était largement. Pour preuve, nous vîmes un jour cet inestimable garçon, lors d’une troisième mi-temps
Mémorable dans un resto d’Aix les bains, nous interpréter un magnifique flamenco. Pas de robe à volants, pas d’éventail non plus ! Il n’avait pour toute parure et pour tout accessoire que de simples « castagnettes » Quand je dis simple, il faut que je vous précise, notre animal c’était saisi d’une paire de magnifiques verres à cognac, et enserrant chacune de ses précieuses testicules dans leur étrange réceptacle, il se promena à travers toute la salle faisant teinter dans un déhanchement lascif son instrument aussi baroque qu’insolite. Les femmes étaient médusées, hypnotisées.Arrivant à la hauteur d’une charmante personne, il lui chipa ses rondelles de tomates, et se les frotta langoureusement sur le pubis. Il fit un triomphe. Le lendemain, au boulot, notre lascar avait visite médicale, je vous ne raconte pas la tronche du toubib découvrant dans la toison de notre artiste une foison de pépins de tomates…
Vous voyez maintenant à qui nous avions à faire !
Et bien ce fameux jour de premier entraînement, après avoir couru comme des dératés, mes jeunes coreligionnaires et moi-même, nous nous retrouvâmes tout timides dans un coin des douches. Bien décidés à se laver gentiment, sans faire de bruit, sans déranger personne. Quand tout à coup le « Gros René » surgit, avec dans la main une belle et toute nouvelle savonnette, l’inscription « Mon savon » gravé bien lisible sur ce terrible objet.
Il se tourne vers nous, nous toise, et dans un rire guttural, il nous dit.
«Ho les merdeux, vous connaissez la combine pour épater vos gonzesses »
Et joignant le geste à la parole, il s’enfile la grosse savonnette dans le prépuce. Une vision incroyable, il avait maintenant au bout du pénis une énorme spatule, battant d’avant en arrière dans un balancier démoniaque. Nous étions bouches bées, mon regard allait de cette broche plate de marteau-piqueur, à mon fragile stylo bille. Je n’avais qu’une envie, c’était de le ranger dans ma trousse.
J’étais traumatisé ! Je savais ce soir là que je ne pourrais me montrer nu devant une fille avant dix bonnes années…
J’exagère un peu, ce fut, il me semble, dix mois ou peut-être dix jours. Enfin peu importe, le choc de cette image restera gravé dans ma caboche jusqu’à la fin de mes jours…
Il faut dire que j’ai une bonne thérapeute, depuis que je la connais, ma charmante épouse ne cesse de me rassurer sur mes mensurations.
Les séances défilent et j’en redemande à chaque fois, le besoin d’être rassuré est plus fort que moi…
Mesdames, réfléchissez bien avant de faire pratiquer à vos garçons ce terrible sport, les risques y sont terribles et pas toujours où l’on croit…
Re: Un peu de prose litteraire avant le week end rugbystique...
j'ai connu pareille mésaventure...
A mon époque, nous appelions ces membres surdimensionnés des bras d'enfants...
Vu le sang nécessaire à rendre à ces sceptres toute leur vigueur, nous dûmes nous rendre à l'évidence : tout dans la queue...
Il me faut être tout à fait impartial, et reconnaître que, dans l'immense majorité des cas, ces anomalies étaient l'apanage du 5 de devant.
Nous constatâmes aussi, que le faciès des personnes à qui ces étrangetés étaient liées, était inversément proportionnel à leur "don".
Comme quoi : La nature est plutôt bien faite...
Je dois aussi dans un souci de mémoire, reconnaître que nous ne regardions plus leurs (femmes, copines, amies) de la même façon.
A quoi ça sert de passer après si tu touches même plus les élastiques...
A mon époque, nous appelions ces membres surdimensionnés des bras d'enfants...
Vu le sang nécessaire à rendre à ces sceptres toute leur vigueur, nous dûmes nous rendre à l'évidence : tout dans la queue...
Il me faut être tout à fait impartial, et reconnaître que, dans l'immense majorité des cas, ces anomalies étaient l'apanage du 5 de devant.
Nous constatâmes aussi, que le faciès des personnes à qui ces étrangetés étaient liées, était inversément proportionnel à leur "don".
Comme quoi : La nature est plutôt bien faite...
Je dois aussi dans un souci de mémoire, reconnaître que nous ne regardions plus leurs (femmes, copines, amies) de la même façon.
A quoi ça sert de passer après si tu touches même plus les élastiques...
Re: Un peu de prose litteraire avant le week end rugbystique...
C'est avec un plaisir non dissimule que je vois qu'on reconnait une superiorite au 5 de devant dans ce domaine.
Cela va clore un debat sterile qui etait apparu sur ce forum au cours de divers post quant au merite respectifs de avants par rapport au 3/4.
A bon entendeur
Cela va clore un debat sterile qui etait apparu sur ce forum au cours de divers post quant au merite respectifs de avants par rapport au 3/4.
A bon entendeur
Re: Un peu de prose litteraire avant le week end rugbystique...
T'es bien un avant toi...
Tu n'arrives à comprendre que ce qui t'intéresse...
M'en fous, de toute façon, ce week-end je vais gauler les noix avec l'amicale des 3/4.
Tu n'arrives à comprendre que ce qui t'intéresse...
M'en fous, de toute façon, ce week-end je vais gauler les noix avec l'amicale des 3/4.
Re: Un peu de prose litteraire avant le week end rugbystique...
Ouais mais nous (les avants), l'avantage c'est que pour gauler les noix, ben justement on a pas besoin de d'instrument...
On vient avec la b*** et le couteau (et encore le couteau il sert juste a couper le sauciflard pour le casse croute).
On vient avec la b*** et le couteau (et encore le couteau il sert juste a couper le sauciflard pour le casse croute).
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum