Nouveau trait de la Buche

Je me permets de partager avec vous un trait nouveau d'un de nos camarades préférés, et je veux bien entendu parler ici de la Buche (oui, on sait, c'était dans le topic).

Alors que je désirais, par mesure de curiosité envers mes amis chers, en apprendre davantage sur le sieur Ricarte, nous avons, hier, bu quelques godets de vins raffinés avec notre 10 estropié national. Le tout, bien sûr, accompagné de rillettes (de volaille, hygiène oblige), de bleu, mousse de canard, et autres camenberts de nos belles régions...

Alors que le nectar apaisait les corps et déliait les langues, la soeur de la Buche s'est jointe à nous, et nous avons, de fait, diversé. Au cours de notre partie de galéjade, nous avons pu entendre, au détour d'une remarque, ces quelques mots "C'est vrai que tu as toujours aimé les grosses, toi, JB". Et immédiatement, se rappelant ma présence, la frangine de se mordre les lèvres. Il était, vous l'aurez compris, trop tard. Nous avons pu alors énumérer quelques prénoms, et je me suis empressé de rajouter, presque machinalement "Ah oui, comme Morello et sauvez Willy, au Pussycat !". La messe était dite.

Voilà qui nous promet un sujet d'intérêt commun, à relancer en toute période, en cas de baisse de régime sur le forum, ou bien encore en cas d'agressivité notoire de la part du biarrot.

Concernant un certain commissaire de police de la ville de Genève, tout s'explique !

Tout devient limpide.

Ca coule de source, comme disait ma grand mère en contemplant ses muqueuses abîmées.

C'est ce que disait une certaine Manon aussi il me semble...

Elle a fait son temps, mais elle faisait bien les choses, comme disent les pays de sa région.

merci de continuer à m'impliquer dans la vie du club P.Giffard...malgré mon indisponibilité!!! je t'en suis reconnaissant

On te voit pas aux entraînements, mais on a encore envie que tu fasses parties de l'aventure. Tu en es digne. Et c'est par ces quelques anecdotes que l'esprit de la Buche est toujours parmi nous. Tu le mérites.

Je dirais même plus, nous te le devons. Car après tout, c'est parce que nous t'avons forcé à festoyer avec nous et par la même contribué à détériorer ton hygiène de vie que tu es dans ce sale état. Nous prenons notre part de responsabilité et ne te laissons donc pas sur le bas côté ami.

Oah, moi, personnellement, j'ai plutôt eu tendance à le freiner, mais que voulez-vous ? Il n'en fait qu'à sa tête...

Merci les copains j'en ai la larme à l'oeil...

PS: heuresement que tonton est là pour me freiner dans mes folles soirées, sinon j'aurais une condition de bulot cuit...

Comme tu le dis si bien : "heureusement"

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